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LIBERTE, un mot qui retentit tel un emblème depuis l'aube de l'humanité. Un mot qui a soulevé d'immenses passions et renversé des montagnes. Sous son nom des peuples se sont battus jusqu'au dernier et des flots de sang se sont déversés.
Et pourtant, aujourd'hui, même dans des pays libres et démocratique ou la liberté fut chèrement acquise par les générations précédentes, certains aspirent à la liberté.
Mais c'est la liberté à une autre échelle dont il s'agit ici.
Nous vivons dans une société extrêmement complexe et parfois nous nous croyons enfermés dans des systèmes, une vie, un monde auxquels nous nous efforçons de nous adapter tant bien que mal et dont nous ne voyons pas l'issue, nous voulons « la liberté », être libre. Oui, mais libre de quoi ?
Voici une petite parabole pour illustrer ce propos.
Le verrou :
Un roi cherche un premier ministre. Une vingtaine de prétendants se présente. Après une série d'épreuves, il reste trois hommes.
Pour l'ultime épreuve il les fait enfermer dans une pièce de son château dont la porte est munie d'un verrou. Le mécanisme de ce dernier est particulièrement sophistiqué, et les trois hommes sont informé que les plus grand savants du royaume en ont imaginé la complexité. Celui qui parvient à ouvrir cette porte avant dix jours deviendra son premier ministre.
La porte aussitôt refermée, deux des hommes se lancent dans de difficiles calculs de probabilité. Le troisième homme s'installe sur une chaise, sans mot dire et semble réfléchir.
Pendant deux jours il reste assis, silencieux et serein tout en observant le manège des deux autres qui s'affairent sur la serrure et émettent toutes sortes d'hypothèses.
Puis il se lève et sans mot dire se dirige vers la porte, tourne la poignée et l'ouvre.
Elle n'était pas verrouillée!le roi le nomma premier ministre.
Souvent, nous nous croyons enfermés dans des prisons ou des systèmes dont nous ne voyons pas l'issue. Pourtant, la prison dans laquelle nous pensons être cloîtrés n'en est pas une. Sa porte n'a pas de verrou. Il ne tient qu'à nous d'actionner la poignée pour nous ouvrir à une existence meilleure ou du moins celle que l'on souhaite. Il suffit de décider, car nous sommes libres, nous avons la chance d'être libre et nous ne le savons pas.
« La liberté, c'est savoir reconnaître ce qui est nécessaire » disait Friedrich ENGELS .
Mais il faut du courage, beaucoup de volonté et une bonne dose d'abnégation pour passer de la réflexion à l'action.
C'est ce qu'à fait un de nos ancien légionnaire, Jonas BERTEAU. Ce n'est ni un illuminé ni un marginal mais simplement un homme sensé qui veut vivre en « homme libre », sa liberté.
Je vous transmet l'article (site FSALE) que notre ami le CBA.(te.er.) Christian MORISOT a fait sur Jonas.
PYC